Exhibe dans la crique et baise dans la tente


Les vacances sont souvent l’occasion de changer ses habitudes et surtout de s’offrir un grand break dans notre train-train quotidien. Comme chaque année, pour les vacances nous, c’est à dire ma femme et moi, souhaitions profiter du bien fait du soleil et donc nous partons pour le sud de la France. Cette année, c’était un peu plus au sud de Perpignan, près d’Argelès-sur-Mer que nous avions décidés de baser notre campement. Ah, oui, je dois le préciser, nous partons chaque année en camping, car c’est super pour les enfants, qui se font vite des amis et c’est l’occasion de mieux profiter de la nature, de liberté,…

Les vacances se sont passés tranquillement, en se partageant entre visite, piscine, plage, apéro et sieste. Je vous rassure tout de suite, il y a tout de même eu des moments un peu plus croustillant. Il faut d’abord savoir que ma femme n’est pas très branchées sur la chose, et qu’elle n’a pas un grand besoin de sexe, tout l’inverse de moi. Mais si d’apparence elle est calme et réservée, c’est bien connu, il faut se méfier des eaux qui dorment.

En effet, premier petit détail, c’est qu’en vacances, je ne sais pour quelle raison, mais elle se promène toujours sans soutient-gorges, ce qu’elle ne fera que rarement en d’autres occasions. Évidement, c’est quelque chose que j’adore et que je lui demande souvent de faire pour moi. Rien de plus agréable que de pouvoir passer ses mains sous le tissus et ne rencontrer aucun obstacle. Il est aussi très agréable de pouvoir plonger du regard dans le décolleté et pouvoir admirer les seins sans leur éternel enveloppe de tissu. Les vacances commençaient bien. L’autre détail qui m’a fortement surpris, c’est lorsqu’elle a acheté un nouveau maillot, bikini, devrais-je dire. L’année dernière déjà elle avait acheté un modèle un peu plus sexy, et cette année, elle a encore osé un peu plus. En effet, elle a acheté un bikini avec de fines ficelles partout et de surcroit, la culotte est de type taille basse, arrivant juste au-dessus des quelques poils de pubis qu’elle a encore. Waaouww lui ai-je dit, tu me surprend drôlement là, mais c’est très bien ainsi. Je sais que ce maillot a attiré pas mal de regards vers elle, mais cela ne me dérangeait pas du tout, que du contraire. Je dois avouer que j’aime quand ma femme en montre plus que ce qu’il ne faut.

Mais venons en à ce qui nous intéresse. Des amis nous avaient renseigné un endroit avec des petites criques où l’on était super bien et tranquille. Cela tombait bien, car c’est tout ce que je voulais pour pouvoir profiter un maximum du bien fait du soleil sur la peau. On avait donc mis ce jour-là cap sur cet endroit et on a rapidement trouvé une petite crique qui nous plaisait fortement. On ne pouvait voir dans la crique que depuis le dessus de la falaise ou bien à condition d’être dans la mer ! On s’est donc installé. On a étendu nos serviettes de plages, les enfants sont tout de suite partis jouer dans l’eau. Ma femme avait sa petit robe bleu moulant avec en-dessous juste la culotte de son bikini. Et là tout d’un coup, elle retira sa robe et s’allongea ainsi, restant seins nus. J’en fus tout surpris, mais très content. De mon côté, je m’étais aussi mis en maillot. Elle m’a alors demandé de lui mettre de l’huile sur le dos, ce que je fis et une fois fini j’ajoutai :

– Et maintenant, au tour de devant.

– Cela je sais le faire moi-même !

– Oui, mais moi aussi, tu verras.

Elle me fit un petit sourire, que j’accompagnai d’un petit bisou sur les lèvres et je versa l’huile sur le haut de son corps et me mis à l’étendre, d’abord sur les épaules, ensuite sur le haut de la poitrine, puis sur le ventre, pour enfin m’attaquer à ses seins que je profita pour bien malaxer. Pendant que je la malaxait et elle me regardait en me souriant et finit par me dire :

– Tu aimes ça, n’est-ce pas ?

– Et toi pas ? Je dois arrêter ?

– Non, continue !

Super me dis-je, espérant déjà plus. Je continua donc de la caresser, en prenant soin de bien malaxer ses seins et de temps en temps de jouer avec ses tétons, que je sais très sensible. Rien de telle que de légèrement lui pincer les tétons pour lui mettre le feu où je pense. Elle regarda plusieurs fois autour de nous, il n’y avait personne. Et puis tout à coup elle me dit:

– Il y a quelqu’un sur la falaise qui nous regarde.

– Je sais, et ce n’est pas le premier, mais je m’en fous ! Il n’a qu’à regarder si cela l’amuse. Ca ne fait pas de mal.

En disant cela, je me mis à légèrement pincer ses deux tétons et je pu sentir qu’elle réagissait. J’ai alors d’une main été vers son bas ventre et j’ai glissé une main sous le petit bout de tissu qui lui servait de culotte, en prenant soin de faire quelque peu glisser les fines ficelles de celle-ci vers le bas, pour dégager le haut de son pubis qui était partiellement épilé. Une main s’occupait d’un téton, alors que l’autre se faisait de plus en plus entreprenante au niveau de son bas ventre. Tant et si bien que je fini par glisser un doigt entre ses lèvres et je pu constater qu’elle était déjà trempée, ce que je ne manqua pas de lui faire remarquer avant de l’embrasser goulument. En même temps que je l’embrassais, j’augmentais la pression de mes doigts sur son clitoris. L’excitation était maintenant forte et je savais, comme chaque fois, que maintenant elle souhaiterait que je continue et que je la fasse jouir. Elle était couchée sur le dos et moi sur le côté, l’un près de l’autre. Alors que je m’occupais d’elle, elle attrapa mon sexe gonflé au travers du tissu de mon maillot. Rapidement, elle glissa d’abord sa main sous le tissu, avant d’extraire mon membre de sa prison. Elle le masturbait, malaxait mes couilles au rythmes de mes caresses intimes. Le bonhomme de la falaise était toujours là. Il avait visiblement décidé de profiter du spectacle et nous, enfin surtout moi, on avait décidé de ne pas s’en soucier. Pour avoir plus facile dans ma tâche, j’avais fait glisser le slip de bain de ma femme dévoilant, plus qu’il n’en fallait, son pubis. La culotte de son bikini était maintenant sur le haut de ses cuisses. L’excitation montait de plus en plus, l’orgasme s’approchant et je ne manqua pas de le lui dire au creux de l’oreille. A ces mots, elle intensifiai son mouvement de va et vient sur ma queue toute dure. J’en fit au tant au niveau de son petit bouton, mais c’est elle qui me fit jouir en premier. Mon sperme jaillit de mon sexe pour se répandre sur le bas de son ventre, mais aussi sur ses seins tant les jets étaient puissant. Au contact de ma semence chaude, cela déclencha chez-elle l’orgasme qui lui fit avoir d’importants spasmes et soubresauts. J’aime quand elle jouit, je trouve cela magnifique ! On était là tous les deux au bord de la mer, couvert de sperme, quasi nus, mais content de notre petite aventure. Une fois nos esprits retrouvés, elle me dit :

– on ne peux pas rester comme cela, avec du sperme partout.

– Non, tu as raisons, attends lui dis-je.

Et je me mis à étaler la crème sur son corps.

– Non pas ça, tu sais bien que je n’aime pas

– Que veux-tu alors que je fasse ? Le lécher peut-être ?

– Non plus, c’est bon, non ? Et si les enfants reviennent.

– Tant pis, mais de toute façon c’est pas le cas pour l’instant.

– Une autre fois, si tu veux bien ?

– Oui, mais alors tu me promets de te laisser faire jusqu’au bout. Okay ?

– On verra.

– Non, okay ?

– Pfff, okay.

A ces mots, je remis mon sexe encore dure, dans sa prison de tissu et fonça vers la mer, ce que ma femme fit aussi.

En tout cas, il y en a un qui a du bien se rincer l’œil, le petit veinard.

L’épisode de la crique était loin d’avoir comblé mon envie, que du contraire voyant la manière dont ma femme s’était laissé faire, à la vue de tout qui pouvait passer par là, je n’attendais qu’une chose c’était de recommencer. Je ne dus pas attendre longtemps. En effet, le lendemain soir, après un bon apéro, du muscat doux, et un repas très léger, ma femme se sentait plus tôt bien. Je peux même dire qu’elle était prête à beaucoup. On finit tout de même par se mettre au lit. Il faisait encore chaud, certainement 30° et dans la tente, il faisait un peu lourd. J’ai commencé à regarder ma femme, sans la toucher.

– Qu’est-ce que tu fais ?

– Ben je te regarde, c’est tout.

– Tu regardes quoi au juste ?

– Toi, mon amour. Je t’imagine…

– Il n’y a rien à voir si ce n’est mon pyjamas.

– Ben justement, je t’imagine sans. Tu sais bien que j’aime te voir, surtout quand tu es nue.

En disant cela je lui caressais le visage, puis le cou, pour enfin caresser le haut du décolleté. J’ouvris le premier bouton.

– Attends, comme ça je pourrai mieux te voir

– Que fais-tu ?

– Ben j’ouvre un bouton. Pourquoi ?

Ma femme ne me répondit pas, ce qui m’encouragea à continuer, à ouvrir un deuxième, me permettant d’avoir ainsi un très large décolleté. J’avais maintenant tout le loisir de voir ses deux seins et de les caresser. Je continuais bien sûr à lui caresser de temps en temps le visage, passant ma main dans ses cheveux et en lui disant des petits mots doux. Je sais que tout cela la fait fondre et j’en abuse souvent !

J’ai alors commencé à lui faire des petits bisous sur les tétons, qui rapidement sont devenus des coups de langues. Cela aussi elle aime beaucoup. De temps en temps j’arrêtais pour la contempler, pour mieux reprendre par la suite et c’est lors d’un de mes arrêts qu’elle m’interrogea :

– Ça va ?

– Mwoais

– Pas plus que ça ?

– Ben, il y a un petit truc qui me dérange.

– Ah, quoi ? Il y a un problème ?

– Oui, c’est que je ne te vois pas bien comme ça.

– Ah non ?

Tout en disant cela, elle hotta d’abord le haut de son pyjamas.

– C’est mieux ainsi ?

– Mieux, mais pas encore parfait

Elle savait très bien ce que je souhaitais et sans se faire prier, elle retira le bas de son pyjamas. Elle était maintenant complètement nue et s’offrait à moi.

– Ah, là c’est beaucoup mieux, n’est-ce pas ?

– Non !

– Ah qu’est-ce qui ne vas pas maintenant ?

– Toi !

Et elle attrapa le short que je portais pour littéralement me l’arracher

Maintenant, c’est parfait, comme cela on est à arme égale !

Cela laissait présager beaucoup de choses sur la suite des événements et elle savait à quoi elle se risquait en faisant cela.

Comme pour la remercier, je l’embrassa tendrement, ne manquant pas de titiller un sein, avant de laisser ma main descendre vers son bas ventre. Avant de n’aventurer trop bas, je caressa ses quelques poils du pubis, avant de laisser mes doigts courir le long de son pubis, sur la partie qu’elle avait épilée et qui maintenant était super douce. Cette petite caresse la faisait à chaque fois tressaillir. Le top de cette caresse, c’était quand je le faisait avec ma langue, mais c’était pas encore pour maintenant.

Le fait de la caresser ainsi, m’excitait aussi beaucoup et mon sexe s’était durci. Ma femme pouvait le sentir contre sa cuisse. Elle glissa une main jusqu’à celui-ci et se mit à caresser délicatement le gland, pour terminer de bien tout exciter. Mes caresses sur son bas ventre s’était par la même occasion intensifiées. Mes doigts se promenaient maintenant sur sa fente intime. Pour m’aider et comme pour m’inviter à aller plus loin, elle écarta les jambes m’ouvrant ainsi le passage vers son intimité. J’en profita pour glisser un doigt dans son sexe, qui était tout humide. J’ai même pu me rendre compte qu’elle était déjà toute dilatée par l’excitation. Je lui masturbait alors le clitoris, sans omettre de m’occuper de ses tétons. Elle de son côté, elle n’avait pas lâché mon membre, qu’elle astiquait aussi de plus belle. Sa respiration s’accélérait, tout comme la mienne, il était temps de passer à autre chose. Je me mis alors à genou entre ses cuisses et la tira vers moi. Son sexe était maintenant à la hauteur du mien, que je pris dans mes mains et mis à caresser son clitoris avec mon gland. C’est quelque chose qu’elle adore aussi, tout comme quand je la lèche, je dois avouer que pour l’instant je ne sais pas trop ce qu’elle préfère. Je masturbais donc maintenant son clitoris à l’aide de mon sexe, tantôt juste avec le bout, tantôt en faisant de long va et vient de toute la longueur de mon membre. De temps en temps, je descendais plus bas, pour présenter mon bout à l’entrer de sa caverne, ne manquant pas d’introduire soit juste le gland, comme pour la provoquer et lui faire sentir, lui donner envie de quelque chose de bien dure en elle, tantôt, enfonçant complètement mon sexe en elle, lui arrachant un petit cri, que je prenais pour du plaisir. Pendant que j’étais en elle, j’en profitait pour lui malaxer les seins. De temps en temps, je me dégageait complètement, pour amener mon sexe à la hauteur de ses seins et frotter celui-ci sur ses tétons. Elle redressait alors sa tête, pour attraper du bout de sa langue mon gland qu’elle léchait avec envie. J’avançais encore plus de temps en temps, pour lui permettre de bien me sucer. Ce petit jeu dura longtemps. J’avais décidé d’en profiter un maximum et donc quand je sentais que l’un ou l’autre était au bord de la jouissance, je ralentissais ou changeais de position jusqu’au moment où je décida qu’il était temps qu’elle reçoive une bonne récompense. J’accélérai alors mes mouvements de mon sexe contre le sien. J’attrapai même ses mains que je dirigeai l’une vers son clitoris et l’autre vers mon sexe et je fis encore quelques mouvements plus rapides ainsi, avant que d’un râle je lui dise

– vas-y prends tout, c’est pour toi !

et ma semence gicla inondant son corps. J’étais tellement excité que je pensais que cela ne s’arrêterait jamais. Elle reçu plusieurs longues giclées blanche qui atteignirent son visage et d’autres plus courtes qui recouvrit une bonne partie de son corps

– Lèche, maintenant ! M’ordonna-t-elle.

– oui, je vais te nettoyer.

Je me mis à faire parcourir ma langue sur tout son corps, amassant mon foutre pour me diriger vers sa bouche, pour finir par l’embrasser.

– Maintenant c’est à toi de connaître le 7è ciel !

– Non, attends, avant je veux que tu me prennes encore, j’ai encore envie de te sentir bien profonds en moi.

Elle me renversa sur le dos et vint s’asseoir sur mon sexe toujours bien dure. C’est elle qui dirigeait la manœuvre, tantôt en laissant à peine rentrer mon sexe dans sa caverne, tantôt en se laissant complètement tomber sur celui-ci. Elle continua ainsi de longue minute, jusqu’au moment où je la renversa en position du 69. J’avais maintenant envie de lui bouffer la chatte et de la faire jouir. Je commença donc à faire jouer ma langue sur son sexe astiquant bien son clitoris. Nos jeux de langues durèrent aussi plusieurs minutes. Je finis par me faire complètement basculer sur le dos, la soulevant et l’obligeant de se mettre à genoux, son sexe juste au-dessus de ma bouche. Elle pouvait à nouveau diriger la manœuvre, me contentant de lécher ce qu’elle me donnait. Il ne fallut pas attendre longtemps pour qu’elle connaisse un orgasme puissant qui lui fit échapper un râle de plaisir. Elle se laissa alors écrouler à mes côtés et vint se blottir contre-moi.

Aujourd’hui, c’est toi qui t’es amusé avec moi. La prochaine fois, ce sera mon tour, me dit-elle avant de s’en dormir tout contre moi.

Pir.

Belle nana célibataire

JE SUIS HORS LIGNE ALORS ECRIS MOI

3 Commentaires

  1. Sexy Cath

    Et bien je vois que l’on ne s’ennuie pas en vacances. Que Madame à de la chance d’être aussi bien servie et même si elle à l’air de prime à bord d’être une sage fille, il est certain qu’à l’intérieur d’elle c’est une bonne petite salope. J’espère que l’on aura encore droit à de telles récits bien excitant et juteux.

    Bises, Cath

  2. Charly

    Salut si tu es de Caen

    durandcharly0@hotmail.fr

  3. alain

    trèe sympa, je uis sur marseille et j’ai 25 ans, ma adresse de mail c’est realtrop@hotmail.fr

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